Ils en parlent mieux que nous
« Je me sens plus calme et j’arrive à me concentrer. À 8 ans et demi, avant de commencer la méthode, j’étais tout le temps survolté. Je m’énervais pour rien, contre ma mère, à l’école. J’avais des angoisses tout le temps, et des difficultés à dormir. J’étais hyper-émotif et j’avais tout le temps mal au ventre.
Après 1 mois de séances, ça a commencé à se calmer. Aujourd’hui, je me sens plus calme, plus serein. Mes explosions, mes colères, c’est fini.
À l’école, je suis dans les cinq premiers, j’ai plus d’amis et ensemble nous aidons les plus jeunes. J’arrive à me concentrer facilement et j’ai une mémoire grandiose ! J’ai aussi changé mes habitudes alimentaires… la viande rouge, le soir, c’est fini. Je mange de manière plus équilibrée.
La méthode m’a beaucoup apporté, là où j’étais le plus à l’aise c’est avec « la haute tension », ça m’apportait du bien-être. »
« J’ai rencontré Florine en arpentant les couloirs d’un salon de bien-être. J’étais stupéfaite de voir son stand si « rationnel » en comparaison avec les autres stands. Et pourtant je suis restée scotchée devant car je comprenais le résultat mais pas la méthode. Florine m’a laissée réfléchir puis s’est invitée dans ma réflexion : « je peux vous aider ? ». De l’aide ! C’est si déconcertant dans ce monde déshumanisé d’entendre quelqu’un vous tendre la main. Et bien plus encore. Après m’avoir expliqué la méthode, j’ai fait un test sur place. La confiance s’est immédiatement installée, la relation professionnelle aussi. Florine est une personne douce, attentive, attentionnée qui s’adapte à chaque séance selon notre évolution. Si nous on se sent perdu, elle sait très bien où elle, nous emmène. C’est très rassurant. Quand on doute, elle nous rassure avec des mots. Certes on ne sent pas l’immédiateté de la méthode comme en sortant d’une séance de psy ou d’un décrassage sportif, mais la méthode est bien plus profonde encore et s’ancre à la fois dans le corps et dans l’esprit. Donc double efficacité ! Bien dommage que toutes ces thérapies non invasives ne soient aussi populaires qu’elles le méritent. Pourtant, elles sont humaines, efficaces à des tarifs accessibles. Qu’on se le dise ! »
« La PNV, après une première période de « ré-éducation » qui m’a permis de sortir de craintes irraisonnées un peu dans tous les domaines et qui m’empêchaient d’être moi-même, me permet aujourd’hui de sortir de la soumission. Plus j’avance, plus je m’affirme, plus je me sens équilibrée et solide, sans quitter mon intérêt pour l’extérieur, pour les autres. Je souhaite aller au bout de la « ré-éducation » et atteindre ce que j’appelle la sagesse.
Merci à mon Accompagnatrice, Sophie Delagrange, et à toute l’équipe de la PNV. »
« J’ai commencé la PNV en mai 2022. Nous sommes en septembre 2023 et j’en suis au cycle 3 de la méthode. J’ai fait au moins deux séances par semaine, aucune séance pendant les périodes de vacances, et jusqu’à quatre séances par semaine pendant des périodes d’intensité.
Suite au bilan, j’avais pour objectif d’améliorer ma coordination et ma focalisation au volant (accidents de voiture fréquents). Une meilleure coordination me permettrait aussi de réaliser un rêve : jouer de la guitare et chanter en même temps.
Dès les premières séances, j’ai constaté de grands changements dans des domaines où je n’avais réussi à progresser qu’avec des efforts colossaux. Ma posture corporelle dans son ensemble s’est modifiée : très rigide, mon bassin s’est naturellement cambré. J’étais plus à l’aise dans l’espace, je me suis mise spontanément à faire de la danse (inenvisageable avant)… Très sensible au contact corporel avec certaines surfaces ou avec d’autres personnes, j’ai commencé un cours d’arts martiaux ! C’était comme si mon corps se réveillait d’un long sommeil. Même extérieurement, quelques personnes ont remarqué ces changements.
Au fil des séances, j’ai aussi commencé à avoir de plus en plus de recul dans toutes les situations de ma vie. C’est une posture psychologique double, qui permet de vivre le présent, tout en s’observant vivre. J’étais de moins en moins engluée dans le tourbillon de cette vie qui allait bien trop vite pour moi. Comme si ma vie ralentissait progressivement et se posait. Et pourtant, j’étais toujours aussi active ! Ce qui m’est devenu le plus précieux, c’est ce dialogue entre la partie de moi qui vit et celle qui observe. C’est ce qui m’a permis de prendre des décisions plus posées et d’avoir un regard plus mature sur nombre de situations ou de relations où j’étais auparavant bloquée et où je proposais toujours la même réponse. Et aussi de repérer les situations et les relations de stress intense, pour arriver à prendre plus soin de moi, comme me poser avant de prendre le volant…
On pourrait être tenté de croire que j’ai juste pris du temps pour moi et fait un peu de développement personnel… Mais j’avais déjà exploré et appliqué beaucoup de choses avant d’arriver à me convaincre de regarder des ronds pendant des heures ! J’étais bien sûr suivie par une thérapeute, j’avais été formée en Communication Non Violente, j’étais bénévole dans de nombreux cadres associatifs et religieux, je pratiquais la méditation et la prière quotidiennes, j’avais fait du yoga, et même des séances de réflexes archaïques !
Et la guitare alors ? Au bout du cycle 1, j’étais conquise. Mais le cycle 2 m’a semblé interminable, avec peu de progrès et même des régressions ! Alors j’ai fait confiance, je me suis fait un programme de podcasts pour vaincre l’ennui et j’ai persévéré. Et sur la fin du cycle 2, l’aisance à la guitare est arrivée. Sans effort. Avec ce que les musicien.nes m’avaient toujours décrit sans que je n’y goûte jamais. La joie et l’amour. De se perdre dans la mélodie et de s’enivrer à en oublier tout le reste…
Alors oui, je compte bien regarder des ronds pendant encore quelques heures pour finir la méthode ! Merci la PNV ! »
« J’ai fait la connaissance de la méthode grâce à une personne qui suivait des séances et qui venait manger dans le restaurant de ma mère. À l’époque, Maxime avait huit ans et demi et je ne savais plus quoi faire. Je m’en occupe seule… et nos rapports étaient houleux. Il était extrêmement agressif, s’emportait tout le temps. Il est vraiment plus calme aujourd’hui et ce « travail » lui a donné confiance en lui. C’est un garçon très intelligent. C’est un « précoce » , comme on dit. Je l’ai été aussi et j’en ai vraiment souffert. L’ensemble des intervenants, Hélène, Lisa, Agnès sont des personnes très attentives, très à l’écoute. J’en suis très satisfaite. D’ailleurs Maxime a bientôt fini. Alors ce sera mon tour, je compte commencer mes séances en septembre. Je vais m’occuper de moi, j’en ai besoin. »
« Après plus de 22 ans à souffrir de phobie sociale, éreutophobie, anxiété, et ayant essayé toutes les thérapies impossibles et inimaginables, je suis tombée par hasard sur la méthode PNV. Étant toujours désespérée par mon état qui me renferme totalement sur moi-même, j’ai décidé d’aller voir Florine.
Le bilan PNV a été sans aucune surprise pour moi, je savais qu’il y aurait du travail. Après 8 mois de thérapie à raison de 2 séances par semaine, je commence à ressentir des effets positifs, moins d’anxiété et cela me donne enfin de l’espoir pour m’en sortir. Florine est toujours là pour moi, elle est très à l’écoute et s’adapte à moi en fonction de mes résultats de séances. Le chemin va être long mais ça vaut vraiment le coup quand on ressent un mal-être — et tout ça sans médicament, que demander de mieux !!! Merci Florine pour toute l’énergie que tu donnes pour moi. »
« Pensant que c’était une méthode plus spirituelle que technique, je n’avais pas grande estime que cela puisse m’aider, puis après avoir fait quelques séances, des petits changements s’appliquent mais un résultat impressionnant ! On comprend très vite qu’il y a plusieurs problématiques que l’on veut résoudre ! Et là s’ensuit une grande réflexion, à quoi ça ressemblera une fois fini !?
Même si certaines séances arrivent à certains moments où on n’a pas forcément envie, cela m’apporte énormément sur un plan personnel. Dans les grandes lignes je suis très colérique, un pas grand-chose me rend tout de suite violent. Énormément de situations que je juge injustes, où la résolution était la violence verbale et physique, aujourd’hui je me sens apaisé. Ce n’est pas quelque chose qui s’est arrêté du jour au lendemain, mais les résultats sont déjà présents pour moi. J’accepte des situations qu’avant je n’aurais accepté, et je prends le temps de réfléchir, et faire au mieux pour chaque situation compliquée. Je n’en suis qu’au début, et ce n’est qu’une infime partie de ce que cela m’apporte. Hâte de continuer la méthode. »
« Mon fils a toujours fait beaucoup de sport. Vers 10 ans il a commencé à faire du handball. Les problèmes d’épaules, les problèmes de dos sont arrivés avec le haut niveau et la pratique soutenue. Bien qu’il soit suivi par des ostéopathes, les blessures, les bobos et les inflammations se sont faits de plus en plus nombreux. Un jour à la fin d’une séance, l’ostéopathe se trouvant démuni nous a donné le nom d’un acupuncteur à Cannes, chez qui nous nous sommes empressés de prendre rendez-vous. C’est ce dernier qui nous a conseillé d’essayer la méthode. À l’époque, je n’en avais absolument jamais entendu parler. Mais lorsqu’on est maman on est prête à tout pour ses enfants, n’est-ce pas ?
En plus de ses blessures et inflammations à répétition, mon fils avait un tic sonore. Il faisait des bruits avec sa bouche, involontaires bien sûr et incontrôlables évidemment, mais très très agaçants et qui le complexaient beaucoup.
La neuro-pédagogue nous a expliqué la méthode et fait le bilan PNV qui a bien sûr montré le dérèglement. Mon fils a commencé le training dans la foulée.
Les tensions musculaires et inflammations ont commencé à diminuer après une vingtaine de séances. Les visites chez l’ostéopathe se sont beaucoup espacées. Le tic a complètement disparu au bout de cinq mois et n’est jamais revenu.”